birkenstock pas cher La responsabilité artistique de William Golding confine à une sorte de profondeur de la responsabilité morale de l’semblables dont la conscience qu’il est déterminé à se réveiller. Faisant usage d’aucune arme plus puissante que le complexe conçu, parfois faits à des moments et en tous temps profondément engagés et romans graves, Golding a ses doigts sur le pouls morale de son âge, d’essayer de diagnostiquer le moi divisé, déformée et déshumanisée maladie essentielle de l’humanité. Bien que bénéficiant d’amour et de soins écrasante à la maison Golding pourrait pas ne pas être exposés à l’obscurité et la terreur de la vie par la contrainte à vivre une vie de pauvreté. Avec le passage des années et sa compréhension de plus en plus il est venu à réaliser que le monde était loin d’être un lieu de «bon sens, la logique et la fascination» et d’être «effrayant, méchant, corrompu et pécheresse qui a été renforcée par ses services dans le la marine et les expériences traumatisantes durant la Seconde Guerre mondiale. Il était convaincu que l’homme était un être déchu saisi par le péché originel et a une nature qui est un péché dans une conversation avec Jack I. Biles Golding a déclaré:
sandales birkenstock arizona Le point fondamental de ma génération a découvert sur l’homme était plus mal en lui que pourrait expliquer simplement par les pressions sociales. L’homme est l’auteur de ses malheurs, qui pourrait à nouveau être tracé à sa nature égoïste. Vie aurait été paisible et heureuse homme avait accepté de vivre en parfaite harmonie avec la nature. Mais ce serait une proposition difficile. Man se sent heureux seulement quand il est en mesure d’établir son autorité sur les autres. Ainsi, la contrainte d’affirmer un tempérament auto, afin de pouvoir comme suprême, même au-dessus du Tout-Puissant se traduit par la haine et la peur qui domine la vie.
Pour Golding plus grande chute de l’homme est de voir «Soi» sur tous les autres, y compris le tout-puissant, mais qui ne l’ignore pas. «Je» devient tout important et a préséance sur toutes les autres choses. Elle donne lieu à l’envie de développer et de maintenir une identité de son propre. L’affirmation de soi implique non seulement ” je suis ” mais aussi ” Je suis moi-même et pas un autre, ” La ” ‘I’ est pas auto-identification simple, mais aussi un état de séparation d’avec tout le reste. ” Cet accent sur ” Auto ‘est de l’avis de Golding un rejet de Dieu et de son interdépendance avec l’univers et sa dépendance à l’égard de l’autre spirituel que l’homme ne peut ni comprendre, ni contrôle. L’idée même d’un «Être suprême» dont la main retenue l’empêche de plus – se rebeller contre lui atteindre que «être» et nie son existence fait. Dans une lettre à John Peter Golding a écrit que faute suprême de l’homme réside dans le fait qu’il est en opposition à sa propre Maker ” Dieu est la chose que nous détournons de la vie, et donc nous haïssent et le craignent et faire une obscurité en ”.
L’homme est dans la peur constante d’être lésée par l’inconnu. Pour cette conscience fragmentée ” l’autre ” est incompréhensible. Il est seulement imaginé que l’obscurité et est un défi à son existence orientée ego. Ce manque de compréhension de l’autre, cette incapacité à surmonter l’autre crée une obscurité en explicable —- la noirceur intérieure dans la profondeur intérieure de l’homme. Obscurité, elle a peur. Cela lui force dans un état de confusion d’être toujours en guerre avec son environnement. Il est le chaos naturel de l’existence, de la vie de la patternlessness souligné par Talbot et réalisé par Sammy Mount Joy. Une autre variante de cela est le ” obscurité de cœur de l’homme ” entrevu par Ralph, Jocelin et Colley. Ils vivent à la fin d’un sens de leur propre ” complicité avec le mal ”. Là encore, il est le sens de l’homme déchu du chaos, son sens de la séparation ou l’aliénation de l’univers. Des sciences et de la technologie au lieu d’être exploité pour la réalisation des aspirations et des valeurs humaines, a entraîné la destruction de l’ensemble de l’échelle laissant derrière villes brûlées citoyens sans-abri, démunis et orphelins in Darkness visible. L’empereur dans The Brass papillon observe inventions scientifiques ont pas été pour le bon jusqu’ici ” (…) ” Je aime le vieux monde. Ce qui a le vôtre à offrir? Une détonation blanc? Roues comme des dents de requins! Soulèvements, ferment, la fièvre, la dislocation, le désordre, l’expérience sauvage et la catastrophe? ”
sandales birkenstock milano Pour atteindre le vrai salut il faut se réconcilier avec soi-même et de détruire ” moi ” et éveillé à la divinité en soi-même et d’autres. Golding admire le plus est celui qui va chercher l’obscurité dans le visage avec un grand courage moral, se réconcilier avec la vérité ignoble en lui qui est potentiellement destructeur de notre humanité. Il ya un malaise de la conscience humaine qui objective mal-regards pour l’extérieur — plutôt que de reconnaître sa subjectivité. Dans Rites of Passage Robert James Colley écrit à Esmond Talbot «Quel homme ne le souille, pas ce qui est fait par d’autres. Bien et le mal est en nous.” Cette complication intellectuelle est une maladie essentielle de l’humanité que Simon (Le Seigneur des Mouches) découvre dans la tête coupée du porc. Man préfère détruire l’objectivation de sa peur plutôt que de reconnaître le mal en lui-même.
Golding est un écrivain religieux, sa religion est basée sur la relation de l’homme à Dieu et de la société. Ses romans constituent un théâtre moral dans lequel le drame tragique de la volonté de l’homme de faire ce qui signifie dans le visage du chaos, créé par lui-même est promulguée. En vue de l’homme de Golding manque de vision. Dans chacun de ses romans est jeté un effort pour combler le fossé entre le monde physique dont il ignore. En se donnant pour tâche formidable de donner une expression artistique à son expérience et vision de la vie Golding a justement gagné une place d’honneur parmi les écrivains de romans ayant une signification profonde moraliste.
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